Ces lignes, ronds, points sont découpés dans du contreplaqué peint et vernis puis assemblés de sorte qu’ils forment une carte simplifiée, imaginaire, métaphorique. Le matériel utilisé, le contreplaqué, possède une épaisseur et ainsi fabrique un bas relief. Quand cet assemblage s’installe sur une façade à l’extérieur d’un bâtiment, il devient monumental, à la fois par sa taille, mais également en raison de la présence même du bâtiment, du mur de ses fissures de sa peinture, de sa matière, des fenêtres du toit au dessus, des gouttières etc.…
La carte sort de son statut de document pour accéder à quelque chose d’autre, dans un paysage ; elle se mêle à la réalité.